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Lauralou
17 mai 2013

Les films de la semaine

      Stoker Song-for-Marion-affiche

Cette semaine, j'ai eu l'occasion de voir deux nouveaux films, tous deux très particuliers et très différents, dont je voulais vous parler, car chacun à leur manière, ils ne laissent indifférent personne. Il s'agit de Stoker, de Park Chan-Wook et de Song for Marion, de Paul Andrew Williams.

Le premier, c'est avant tout son affiche qui nous avait tapé dans l'oeil avec mon homme. En effet, l'affiche, très esthétique et très mystérieuse, nous parlait énormément, et ce fut d'autant plus le cas lorsque nous avons vu le nom du real, Park Chan-Wook, qui a réalisé le mythique Old Boy, que mon homme avait beaucoup aimé. C'est donc sans connaître le synopsis et sans avoir vu la bande annonce, que nous sommes allés voir ce film. Comme je le pressentais, le film est d'une esthétique folle, incroyablement belle, à tel point que chaque plan semble être un tableau. Tout est extrêmement travaillé et précis, et d'une beauté à couper le souffle. Rien que pour ça, le film vaut plus que le coup d'oeil. Il en va de même pour le casting, absolument parfait. Mia Wasikowska, la jolie Alice de Burton, excelle dans ce rôle de jeune fille devenant jeune femme et se découvrant peu à peu et Nicole Kidman est impeccable dans son rôle de veuve, pas si éplorée que cela. Mais la véritable révélation du film pour moi, est Matthew Goode, un comédien incroyable au charisme absolument dingue. Chaque fois qu'il entre en scène, il s'impose et inspire à la fois de la fascination et quelque chose de malsain et de mystérieux, un sentiment extrêmement déroutant. Par peur de trop en dévoiler, je vais m'arrêter là. Je vous dirais juste que si la fin m'a quelque peu déçue, le film est d'une beauté rare et remplit son contrat vis à vis des codes du genre.

Résumé (Allociné): Après la mort de son père dans un étrange accident de voiture, India, une adolescente, voit un oncle dont elle ignorait l’existence, venir s’installer avec elle et sa mère. Rapidement, la jeune fille se met à soupçonner l’homme d’avoir d’autres motivations que celle de les aider. La méfiance s’installe, mais l’attirance aussi… Un conseil, ne regardez pas la BA, au risque de vous faire sacrément spoiler..

Le second n'a strictement rien à voir et offre quelque chose de très différent. Ici, il s'agit d'amour, d'humour, de rire et de tendresse, mais aussi de tristesse et d'émotion. Dès les premières images, on est immergé dans cette banlieue de Londres où vit cette petite bande d'amis retraités qui, pour contrer l'ennuie de la vieillesse et de la retraite, se retrouvent à la chorale. Si la première fois que j'ai vu la bande annonce, le film ne me tentait pas plus que cela, j'ai néanmoins décidé d'accepter l'invitation à l'avant première, étant curieuse de nature. Et je ne l'ai absolument pas regretté, tant j'ai été émue et bouleversée par ce film. Tout est très juste et parait très sincère. On y croit complètement et on s'attache très vite à ses personnages atypiques et très touchant. Le film est très drôle, émouvant mais jamais larmoyant, à la fois attendrissant et déchirant. Un joli moment de cinéma.

Résumé (Allociné): Arthur et Marion, couple de retraités londoniens, sont profondément unis malgré leurs caractères dissemblables ; Marion est positive et sociable, Arthur est morose et fâché avec la terre entière. Aussi ne comprend-il pas l’enthousiasme de sa femme à chanter dans cette chorale férue de reprises pop décalées et menée par la pétillante Elizabeth. Mais peu à peu, Arthur se laisse toucher par la bonne humeur du groupe et par la gentillesse d’Elizabeth. Encouragé par cette dernière, qui a inscrit la chorale à un concours, Arthur réalise qu’il n’est jamais trop tard pour changer.

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